Dans l’épanouissement de ses activités, l’aumônerie a constaté que les femmes atteintes de la maladie psychiatrique sont spécialement délaissées. Ainsi un nouvel objectif a été créé : « Accompagnement des femmes atteintes de la pathologie psychiatrie. »
Quand les femmes tombent malades psychiquement, personne n’y fréquente. Elles sont abandonnées complètement, et y compris leurs propres familles. Cela renforce davantage leurs maladies psychiques, leurs rendre complètement folles, et elles perdent la tête totalement.
La plupart d'eux vivent encore chez leurs familles et prennent leurs repas tous les mercredi, d'autres vivaient seule dans les quartiers aidé par les gens de bonne volonté, mais une qui ne savaient même pas ni son nom ni sa famille reste à la charge totale de l'ACH : qui est à la charge de l'ACH depuis le décembre 2019. L'accompagnement spirituel des ces malades mentaux dépend de la disponibilité du Père aumônier.
Pour leur venir en aide, nous désirons de construire un centre d’accueil spécialement pour les femmes malades psychiquement. Dans le but de les soigner, les aider afin qu’elles puissent travailler, comme tout le monde, pour qu’elles prennent en main leurs vies et surtout pour qu’elles puissent trouver en même temps leurs guérisons. Ce sont les souhaits fondamentaux pour ceux qui travaillent dans l’aumônerie de l’hôpital.
Plus précisément, nous voudrions construire un dispensaire et des logements pour les acquérir.
Certes, que nous avons des nombreux centres qui s’occupent des malades dans la ville; y compris l’hôpital principal de Tuléar, il y a aussi l’hôpital Manarapenitra( CHU Mitsinjo Betanimena), appartenant à l’état. A part cela, il y avait aussi des hôpitaux, et dispensaires privés, tels que le Clinique Saint LUC à Andabizy, l’Hôpital Luthérienne SALFA à Tanambao, le Clinique CMB Betela, et beaucoup de Dispensaires qui s’éparpillent dans la ville de Tuléar, et aux environs. Mais ces hôpitaux ne sont pas spécialisés aux traitements psychiques.
A Tuléar, nous avons aussi de centre qui s’occupe les hommes malades mentaux, appartenant aux Frères de la congrégation de la Transfiguration. Et c’est qui manque dans cette ville, c’est de trouver le centre qui s’occupe spécialement les femmes malades mentalement.
L’aumônerie a essayé de les prendre en charges, mais les problèmes, c’est que : leurs familles les ont abandonnées, ou n’arrivent pas à leurs surveiller de jour en jour - alors que c’est un gros risque, vu leurs situations féminines - ; leurs traitements sont à long termes; et elles ont besoin d’un espace calme, vaste, suivi des verdures et bien clôturer. C’est très important pour leurs traitements, pour leurs guérisons et surtout pour le suivi de leurs santés. Or ce que nous avons est très limité. Entre autres les endroits pour les accueillir, mais au niveau des matériaux nécessaires pour leurs soins. Pourtant, les malades augmentent en nombre.
Pour démarrer ce nouveau projet, on a créé une association des femmes pour mener les secours à ces femmes malades mentales: ASFP: "Association de Secours aux Femmes Psychiatries". Cette association a eu son statut officiel et indépendant de la religion malgré le fondateur qui est Le Père Jean Cley. Et cette association peut gérer tous les demandes de parrainages à tous les Organismes de bonne volonté.